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AGRITORCH > Blog > A la une > Au Bénin, la transformation locale des noix de cajou est un maillon faible de la filière
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Au Bénin, la transformation locale des noix de cajou est un maillon faible de la filière

midas
Par midas 4 Minutes de lecture Publié 2 décembre 2023
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La filière anacarde au Bénin est l’une des filières à fort potentiel. De la production des noix de cajou à la commercialisation en passant par la transformation, elle présente de nombreux intérêts tant pour les acteurs que pour le Bénin. Mais dans ce maillon, la filière devra relever certains défis cruciaux afin d’assurer sa durabilité.

Propulser une filière agricole demande nécessairement la transformation des matières premières issues de cette dernière chez soi. Faisant donc partie des pays africains qui veulent tirer tous les profits de la filière anacarde, le Bénin a opté pour ce choix.

Ce dernier est justifié par l’installation de la zone industrielle de Glo-Djigbé, construite par Arise et dont un compartiment s’occupe de la transformation de ce produit qui représente le deuxième produit d’exportation dans le pays après le coton.

De même, cette volonté de transformation de noix de cajou au niveau local se précise par l’interdiction d’exportation du produit qui se profile à l’horizon, soit en avril 2024. En 2022, le responsable d’Apiex,

Laurent Gangbes, affirmait qu’aujourd’hui, le Bénin « produit à peu près 180 000 tonnes de noix de cajou par année, et seules 30 000 sont transformées sur place ».

« Notre ambition, c’est d’arriver à 350 000 tonnes de production, et de faire venir les industries pour la transformation complète des noix ».

Et vu la dynamique en cours, ce rêve est en passe d’être réalisé mais pas en esquivant les nombreux défis auxquels le maillon est confronté.

Primo, selon Charles Kayembé, Directeur Général de Afokantan Benin Cashew et Président du conseil national des transformateurs de Cajou au Bénin, « le grand défi auquel nous sommes confrontés est lié à la main d’œuvre qualifiée dans la mécanisation ». Pour lui, le Bénin dépend toujours des vietnamiens, car

« ce sont eux qui nous vendent les équipements et ne nous donnent pas tous les secrets ».

À ce niveau, il faut donc mettre en place un modèle de transfert de connaissances, ce qui serait déjà en cours selon le DG.

Au-delà de ce manque de connaissance en matière de manipulations des machines de transformation, il se pose également le souci d’entretien de ces dernières.

Ce qui représente un autre défi à relever pour faire asseoir une transformation durable des noix de cajou au Bénin. Par ailleurs, beaucoup de producteurs de noix de cajou ne disposeraient pas des moyens financiers nécessaires pour investir dans des équipements de transformation ou pour se connecter aux marchés.

Comme dans la filière ananas et autres, l’accompagnement des petits transformateurs par le gouvernement en ce qui concerne la mécanisation serait d’un grand apport pour le pays. Aussi, est-il estimé que les conditions de travail dans les usines de transformation sont souvent précaires et exposent les travailleurs à des risques pour leur santé et leur sécurité.

Alors, pour surmonter ces défis, il faudrait plus d’investissements substantiels non seulement dans l’équipement pour les petits transformateurs, mais aussi dans la formation et la recherche.

Il serait également nécessaire de créer des partenariats public-privé pour améliorer l’accès aux équipements de transformation et aux marchés de débouché. Enfin, il faudrait mettre en œuvre des mesures de sécurité et de santé au travail pour protéger les travailleurs et améliorer la qualité des produits finaux.

lerural

 

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