Des cadres de droits fonciers clairs et transparents sont essentiels pour protéger les droits des communautés locales et promouvoir une utilisation responsable des terres.
L’Afrique aurait enregistré, ces dernières années, une forte augmentation de la reconnaissance légale des droits fonciers collectifs, mais beaucoup de ces lois n’ont pas encore été mises en œuvre.
Des milliers de communautés ont obtenu leurs titres de propriété depuis que la Commission de l’Union Africaine, la Commission économique pour l’Afrique et la BAD ont adopté leur cadre de politique foncière et leurs lignes directrices pour garantir les droits fonciers.
Pour autant, aucun de ces succès n’aurait été possible sans les institutions foncières nationales. Ces dernières réalisent le vrai travail sur le terrain en traduisant les politiques en pratique et en obligeant les gouvernements à rendre compte de leurs engagements.